The Conversation - Bonnes feuilles : Les mécanismes de gouvernance à l’origine de la chute du PDG de Vinci en 2006
Publié le 3 février 2020 – Mis à jour le 21 février 2022
Par Peter WIRTZ, Professeur des Universités en finance, iaelyon School of Management.
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La théorie de l’agence postule la tendance naturelle d’un dirigeant salarié à poursuivre ses intérêts personnels, potentiellement en contradiction avec ceux des actionnaires, ce qui suscite des coûts d’agence et conduit ainsi à une destruction (ou à une moins grande création) de la valeur actionnariale.
L’observation du cas Vinci permet d’identifier deux principaux mécanismes de gouvernance ayant contribué à la révélation du conflit d’intérêts ainsi qu’à sa résolution. Il s’agit de la surveillance mutuelle des dirigeants, classée par Charreaux (1997) comme mécanisme spontané spécifique, et du conseil d’administration, qui, lui, est un mécanisme intentionnel spécifique.
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La théorie de l’agence postule la tendance naturelle d’un dirigeant salarié à poursuivre ses intérêts personnels, potentiellement en contradiction avec ceux des actionnaires, ce qui suscite des coûts d’agence et conduit ainsi à une destruction (ou à une moins grande création) de la valeur actionnariale.
L’observation du cas Vinci permet d’identifier deux principaux mécanismes de gouvernance ayant contribué à la révélation du conflit d’intérêts ainsi qu’à sa résolution. Il s’agit de la surveillance mutuelle des dirigeants, classée par Charreaux (1997) comme mécanisme spontané spécifique, et du conseil d’administration, qui, lui, est un mécanisme intentionnel spécifique.
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Mise à jour : 21 février 2022