- Recherche,
Fatima Ezzahrae TAHRI, Doctorante en Finance
Laboratoire de recherche Magellan - iaelyon depuis septembre 2022
Publié le 8 novembre 2022 – Mis à jour le 8 novembre 2022
Thématique : « Implications du phénomène d’inhabitabilité sur la performance des entreprises et sur la gestion des risques »
Fatima Ezzahrae TAHRI, Doctorante en Sciences de Gestion, Université de Lyon, Université Jean Moulin Lyon 3, iaelyon School of Management, Laboratoire de recherche Magellan
Après avoir être diplômée d’un Master en Finance (FGO) à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) au Maroc, sa passion pour la recherche a amené Fatima Ezzahrae Tahri à poursuivre son parcours académique en intégrant le Master 2 Etudes et Recherche en Management à l’iaelyon, à l’issue duquel elle a réalisé un mémoire de recherche en Finance Climatique.
Titulaire d’un contrat doctoral, Fatima Ezzahrae TAHRI a rejoint le Groupe Finance du Laboratoire Magellan. Son sujet de thèse propose d’intégrer une notion novatrice en sciences de gestion - empruntée à la climatologie - qui est « l’inhabitabilité ». Il s’agit d’un phénomène qui s’intéresse à la distribution de la niche humaine dans l’espace climatique et aux conséquences du réchauffement climatique sur l’habitabilité de certaines régions dans le monde. Sa thèse vise principalement à étudier les implications de ce phénomène d’inhabitabilité sur la performance des entreprises et sur la gestion des risques.
Sa thèse doctoral est réalisée sous la codirection de Jean-François Gajewski et Paul-Olivier Klein.
Après avoir être diplômée d’un Master en Finance (FGO) à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) au Maroc, sa passion pour la recherche a amené Fatima Ezzahrae Tahri à poursuivre son parcours académique en intégrant le Master 2 Etudes et Recherche en Management à l’iaelyon, à l’issue duquel elle a réalisé un mémoire de recherche en Finance Climatique.
Titulaire d’un contrat doctoral, Fatima Ezzahrae TAHRI a rejoint le Groupe Finance du Laboratoire Magellan. Son sujet de thèse propose d’intégrer une notion novatrice en sciences de gestion - empruntée à la climatologie - qui est « l’inhabitabilité ». Il s’agit d’un phénomène qui s’intéresse à la distribution de la niche humaine dans l’espace climatique et aux conséquences du réchauffement climatique sur l’habitabilité de certaines régions dans le monde. Sa thèse vise principalement à étudier les implications de ce phénomène d’inhabitabilité sur la performance des entreprises et sur la gestion des risques.
Sa thèse doctoral est réalisée sous la codirection de Jean-François Gajewski et Paul-Olivier Klein.
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Mise à jour : 8 novembre 2022